Qu’on le veuille ou non, malgré les progrès accomplis en matière d’hygiène et de confort de vie, il est difficile aujourd’hui de ne pas être en contact avec de nombreux polluants, toxiques pour notre corps.
Un bien moderne pour un mal moderne ?
Connaître et repérer les polluants et produits toxiques
Issus le plus souvent de l’industrie et de l’agriculture intensive, ils sont hélas un peu partout sur notre planète, transportés par les vents, les courants marins, les rivières. Nous les respirons, nous les buvons, nous les mangeons. Il n’est plus besoin aujourd’hui d’en faire la preuve, beaucoup d’études ont montré les effets pervers de ces substances sur la santé humaine :
- infertilité, dérèglements hormonaux divers,
- dégradation du microbiote (intestinal et cutané),
- modifications épigénétiques, voire dégradation de l’ADN cellulaire,
- augmentation des cancers et des neurodégénérescences précoces,
- forte augmentation de l’autisme,
- baisse générale du QI quotient intellectuel,
- infirmités de naissance dans certains cas, etc…
On appelle ces substances toxiques à faible dose et venant de notre environnement : des xénobiotiques. Tout le monde n’y est pas sensible de la même façon. Si ces produits ont une répercussion sur notre santé, des cures de détox pourront être utiles. En attendant, voici quelques bases pour apprendre à repérer ces poisons lents et les éviter, voire les éliminer autant que possible.
Les métaux lourds
Les toxiques parmi les plus dangereux sont les métaux lourds (Plomb, Mercure, Cadmium, Arsenic, Nickel, Aluminium…). Ils peuvent être dans notre alimentation, dans l’air que nous respirons (gaz d’échappement, fumées industrielles, fumée de cigarettes, composés volatiles des bâtiments, peintures…) et dans certains médicaments.
Ils peuvent contrecarrer certaines réactions enzymatiques normales de notre corps. Certains leur attribuent l’origine de plusieurs maladies de dégénérescence apparaissant avec l’âge comme Alzheimer avec l’aluminium ou le mercure. Les preuves sont encore discutables mais il existe des études scientifiques montrant des liens entre certaines maladies dégénératives et des taux de métaux lourds élevés, par exemple mercure et diabète (1).
Quoiqu’il en soit, leurs effets toxiques sont bien connus et attestés (2). Ils dépendent, bien entendu, de leur concentration dans notre corps.
Il faut savoir les éviter et aider l’organisme à s’en débarrasser. Les intoxications les plus fréquentes sont celles au mercure, plomb et aluminium. Plusieurs approches médicales spécifiques et techniques nutritionnelles existent pour aider l’élimination des différents métaux lourds.
Les pesticides, insecticides, fongicides
Des milliers de produits différents sont utilisés en agriculture intensive pour la production des fruits, légumes et céréales que nous mangeons. Nombreux sont ceux qui ont un effet sur nos fonctions hormonales en particulier oestrogènes-like. DDT (aujourd’hui interdit mais hélas encore employé), DDE, glyphosate (Roundup°), lindane, peuvent bloquer les hormones androgènes et favoriser des cancers de la femme.
Le glyphosate en particulier est employé en grosses quantités sur les cultures comme désherbant sélectif. Il est bien présent dans nos assiettes (3) et vient activement détruire nos bonnes bactéries intestinales. On le sait et on en connait les conséquences depuis 2021 dont une augmentation des phénomènes d’oxydation et d’inflammation.
La plupart de ces produits, en modifiant notre microbiote, favorisent l’obésité, le diabète, les maladies métaboliques et peuvent freiner notre production de neuromédiateurs.
Des études prouvent que les xéno-oestrogènes à forte dose, tels que des pesticides organochlorés (métoxychlore, lindane, …), peuvent induire des altérations de la reproduction chez l’animal.
En 2015, 91% des cours d’eau et 70% des nappes phréatiques seraient contaminés par des pesticides d’après le Commissariat général au développement durable. Plus de 140 études internationales ont relevé la présence de pesticides dans nos corps.
Les taux maximum de pesticides à ne pas dépasser dans l’eau du robinet sont remontés régulièrement par les pouvoirs sanitaires. Par exemple en 2012, le relèvement des seuils limites a permis d’autoriser à nouveau de boire les 3/4 des eaux qui étaient devenues impropres à la consommation en France.
Pour information, plusieurs études ont montré que le vin était encore bien plus contaminé que l’eau du robinet.
Les additifs alimentaires
Ce sont les colorants, les conservateurs, les exhausteurs de goût, les émulsifiants, les édulcorants artificiels, les agents de texture, etc… Si certains sont inoffensifs, voire naturels, d’autres sont connus pour être cancérigènes comme les phosphates inorganiques par exemple.
Ils sont contrôlés plus attentivement par la législation depuis ces dernières décennies cependant il faut rester très vigilant, l’idéal étant de les éviter autant que possible.
La liste est longue :
- E321 ou BHT : l’insidieux hydroxytoluène butylé est un conservateur, employé dans les aliments transformés à base de céréales (surtout complètes) car il empêche le rancissement des acides gras oméga 6 contenus dans les fibres des céréales. C’est un perturbateur endocrinien.
- E319 ou BHQt : un autre conservateur qui semble dégrader le système immunitaire et favoriser la croissance des intolérances alimentaires.
- le E927a ou azodicarbonamide : il sert à rendre moelleux certains pains industriels (et aussi certains revêtements de sols). C’est un perturbateur endocrinien, normalement interdit en Europe dans la nourriture.
- l’arsenic : utilisé comme antibiotique notamment pour les élevages de poulets…
Les détergents et les toxiques des produits d’hygiène
Ils peuvent être toxiques au simple contact de notre peau qui les absorbe et les fait passer dans notre sang. Ils vont ensuite malmener notre foie qui est en charge de les éliminer. Il s’agit des lessives des vêtements mais aussi des détergents que nous avalons lorsqu’ils se déposent sur la vaisselle ou les verres mal rincés.
Les alkylphénols (tensio-actifs présents dans les lessives ou les shampoings) peuvent aussi perturber les fonctions de reproduction par leurs effets oestrogéniques (études chez l’animal).
Les déodorants contiennent souvent de l’aluminium. les savons et autres nettoyants, du laurylsulfate… 40 % des produits d’hygiène-beauté contiennent au moins un perturbateur endocrinien selon l’étude Noteo de 2013. Les cosmétiques contiennent de nombreux perturbateurs hormonaux : parabènes, cyclopentasiloxane...
Le triclosan est un antibactérien présent dans les dentifrices, shampoings, savons, cosmétiques et désinfectants, ou encore meubles, revêtements, peintures, tapis, vêtements, meubles… Quasi omniprésent, à tel point qu’aux Etats-Unis, on trouve du triclosan dans les urines de 75% des habitants.
Les médicaments
Les médicaments chimiques (voire certains remèdes naturels) peuvent être très utiles et bénéfiques dans certains cas mais, donnés au long cours, ils restent des polluants qui peuvent entraîner des effets indésirables sur l’organisme, en particulier sur notre microbiote intestinal. Il s’agit de substances étrangères que le corps devra éliminer, notamment par le travail de détoxication du foie.
Les médicaments suivants sont souvent pris à l’excès, trop longtemps ou trop souvent (par auto-médication ou par prescription) :
- antibiotiques à large spectre (qui détruisent la flore intestinale)
- anti-acides gastriques (favorisent l’hyper-perméabilité intestinale, altèrent le microbiote, diminuent l’absorption des protéines et de certaines vitamines, peuvent diminuer la production énergétique par les mitochondries de nos cellules…)
- certains laxatifs
- anti-douleurs et anti-inflammatoires non stéroïdiens pouvant léser l’estomac mais aussi l’intestin et sa flore, le rendre trop perméable (leaky-gut)…
La pollution par les matières plastiques
Les matières plastiques et microplastiques
Le Bisphénol A est issu de nombreux composés plastiques et PVC, en particulier lorsqu’ils sont soumis à la chaleur. Il est présent dans les bouteilles et barquettes en plastique mais aussi dans les revêtements intérieurs de la plupart des boîtes métalliques. C’est un célèbre un perturbateur endocrinien (ou hormonal, voir notre article) aux effets « oestrogen-like ». Les études ont aussi montré qu’il empêche l’organisme et les traitements de lutter contre les cellules cancéreuses.
Les phtalates sont aujourd’hui partout pour assouplir les plastiques d’emballages alimentaires notamment. Ils se transmettent à la nourriture et des études ont bien montré leur présence dans le corps des humains. Ce sont aussi des perturbateurs endocriniens. Selon une étude américaine (Schecter 2013), les aliments en contenant le plus seraient le boeuf, le porc, les céréales complètes, le poulet et les produits laitiers (d’élevages et production non « organiques », bien entendu).
Attention donc aux bouilloires électriques, bouteilles d’eau restées au soleil, matières plastiques chauffées dans les fours à micro-ondes, etc… De nombreux pays ont retiré récemment des matières plastiques des biberons. Le Japon les a retirées des emballages et contenants alimentaires avec des effets positifs sur la santé publique.
Les microplastiques sont de très fines particules, hélas omniprésentes aujourd’hui dans tout l’environnement (air, eau, sols, aliments…) (4). Il est bien démontré aujourd’hui qu’ils peuvent s’accumuler dans l’intestin et altérer sa fonction de barrière. Ils réduisent la diversité de notre microbiote (5) et favorise la croissance des colonies de bactéries pathogènes (6).
Et les autres polluants…
Pour mémoire, citons :
- les déjections des animaux d’élevage qui polluent les nappes phréatiques,
- les antibiotiques, hormones et autres médications données aux animaux d’élevage (bétail, volailles et poissons), que nous mangeons, et qui détruisent notre flore,
- les médicaments transformés que nous rejetons dans nos selles et qui résistent aux centrales d’épuration. On retrouve donc dans l’eau du robinet et dans les rivières, puis dans la mer : du paracétamol, des médicaments de chimiothérapie, des hormones, du Prozac°, etc…
- les engrais chimiques (dont des nitrates) qui se retrouvent hélas maintenant dans la plupart des eaux, même de source,
- les composés organiques volatils que nous respirons dans les constructions modernes. Ils sont diffusés par les peintures, les moquettes et revêtements de sols ou de murs… : Formaldéhyde, Xylène, Toluène, Benzène, Trichloréthylène, Chloroforme, Ammoniaque, Acétone… la liste est longue.
N’oublions pas la dioxine générée par certaines usines et incinérateurs, le PCB (pyralène) arrêté depuis 1980 mais encore présent un peu partout sur notre planète, et retrouvé dans la chair des animaux situés en bout de chaîne alimentaire (gros poissons, animaux à viande, volailles, laitages…) augmentant le risque de cancer.
voir ici
Et encore, que dire des produits agricoles génétiquement modifiés (OGM)…?
Comment éviter les produits toxiques et la pollution ?
Boire de l’eau pure
La plupart des robinets donnent une eau qui dépasse les seuils admis en pesticides pour ne citer que ces toxiques. Les eaux embouteillées dans du plastique contiennent aussi des perturbateurs endocriniens issus du plastique et des particules de microplastiques. Il n’est plus rare de trouver des eaux de source (voire minérales) contenant aussi des nitrates.
Le chlore utilisé pour désinfecter l’eau du robinet est bien entendu nocif pour notre flore intestinale.
Aussi l’idéal est de filtrer son eau avec un système efficace et de qualité (filtres à charbon actif ou osmose inversée). Attention : beaucoup de carafes filtrantes sont très peu efficaces (et sont en plastique !).
Manger des produits alimentaires bios ou peu traités
En particulier, éviter les végétaux non bios suivants (qui concentrent les pesticides) : concombres, tomates, courgettes, poivrons, piments, céleris, épinards, fruits à noyaux, pommes, pêches, framboises, fraises, agrumes, raisins.
Les produits suivant (même non bios) seraient moins exposés aux pesticides : asperges, avocats, aubergines, oignons, patate douce, choux, maïs doux, petits pois, melons, champignons, pamplemousses, kiwis, mangues, papayes, ananas (selon Environnemental Working Group).
Notons que les pesticides se concentrent surtout dans la peau des fruits et légumes. Ainsi, on est enclin à ne pas la manger. Hélas, c’est elle aussi qui contient beaucoup d’antioxydants, polyphénols, vitamines et minéraux.
Utiliser des produits d’hygiène simples et naturels, libres de toxiques
Qu’il s’agisse de savons de toilette, produits de nettoyage de la maison, cosmétiques… optez pour des produits simples, à base de substances naturelles. Pensez vinaigre blanc, bicarbonate, savon de Marseille, huiles végétales, etc… Ces produits reviennent en masse sur les rayons des commerçants.
Aérer son lieu de vie
Faire circuler l’air permet d’éviter la concentration des toxiques volatils dans l’air respiré. Ils viennent des peintures, revêtements de sols et de murs ignifugés, tissus de mobilier et vernis, etc… Les plantes vertes d’intérieur peuvent aussi être actives et bénéfiques dans l’amélioration de l’air.
Enfin, n’oublions pas la pollution électromagnétique (voir cet article). Inodore et incolore, elle est pourtant parfois très présente autour de nous. Ses effets sur la santé sont largement prouvés. Il s’agit bien sûr des antennes et transformateurs, lignes à haute tension, téléphones, ordinateurs, fours à micro-ondes, etc…
Se débarrasser des polluants : est-ce possible ?
Notre corps possède des fonctions d’élimination contre les substances toxiques ou étrangères. Notamment, notre foie filtre constamment notre sang dans son travail de détoxication et dirige les toxines vers les autres organes de l’élimination (émonctoires). Les problèmes peuvent survenir principalement dans deux situations :
1. un système de détoxication débordé par des doses de toxiques incessantes et trop importantes.
2. un manque d’énergie et de périodes de repos de l’organisme pour effectuer correctement ce travail.
La première chose sera donc de veiller à son environnement, à manger sain et léger, et à avoir un temps de sommeil suffisant (c’est le moment le plus favorable à la détoxication).
Il est aussi possible d’aider notre corps à réduire nos niveaux de xénobiotiques. Pour cela, les différentes techniques de notre guide détox pourront vous être utiles. Elles favorisent l’évacuation des toxines produites par le corps (endotoxines) et aussi venant de l’extérieur (exotoxines ou encore « xénobiotiques » issus de la pollution).
Ensuite, en cas de charge toxique importante et avérée, il existe des techniques plus spécifiques à l’élimination de certains polluants. Il s’agit surtout de produits dits « chélateurs » : ils sont capables de capter ou de se lier à ces exotoxines dans le corps, et de les entraîner vers la sortie, c’est à dire les selles, l’urine, la sueur…
Il n’y a pas de substance miraculeuse à cet effet mais des produits ou des plantes qui agiront dans ce sens pour compléter une détox de base (voir ci-dessous).
Sachez aussi que l’état de votre muqueuse intestinale est important. Son intégrité, ainsi qu’un microbiote sain et équilibré diminue d’autant l’absorption des produits toxiques ingérés. A prendre donc en considération.
Pour certains comme les métaux lourds, il existe des détoxications précises. Par exemple, des produits chélateurs naturels pourront être utilisés comme :
- la chlorella, pour qui des études ont montré un effet détoxicant sur le cadmium (*) et le mercure
- la coriandre qui a aussi fait preuve d’une action sur le plomb (*) et le mercure
- l’ail pourrait agir sur le mercure, le plomb et le cadmium (*)
- la terre de diatomée, riche en silice, qui est capable de capter certains métaux comme l’aluminium (*)
- le sélénium, connu pour son affinité avec le mercure. Là aussi des études on montré une action détoxifiante (*).
Le charbon actif, l’argile (notamment la bentonite) peuvent plus généralement se lier aux toxiques et polluants, et favoriser leur élimination intestinale.
Dans le même esprit, l’acide aminé taurine favorise l’élimination de toxiques liposolubles (qui se déposent dans nos cellules graisseuses) vers la bile, qui se déversera dans l’intestin. Cette liposolubilité est le cas pour beaucoup de perturbateurs endocriniens, pesticides, etc… donc attention aux niveaux de toxiques sanguins qui augmentent dans le sang lors d’amaigrissements rapides.
Citons encore le chardon marie, le desmodium… qui agissent au niveau du foie, ou le pissenlit, l’ortie, l’orthosiphon… qui aident les reins. Ils sont détaillés dans nos articles sur la détox. Bien entendu, une alimentation riche en fibre sera bienvenue pour réguler un bon transit, et entraîner ces déchets toxiques vers la sortie.
Citons également l’EDTA ou le glutathion en injections, qui sont des techniques médicales, etc… Activer la transpiration peut aussi aider à éliminer bon nombre d’exotoxines et polluants (*).
En conclusion : s’adapter aux polluants
Aujourd’hui, tous ces polluants sont omniprésents, et on peut difficilement tous les éviter. Sans en faire un maladie obsessionnelle, l’essentiel est déjà d’en être conscient et d’y faire attention, afin de réduire les quantités de polluants absorbés par le corps.
Ensuite, il parait pertinent, pour les personnes les plus exposées, de procéder à ces cures détox évoquées plus haut, de temps en temps.
Enfin, sachant que l’homme est seul responsable de cette pollution qui s’introduit dans nos corps, il pourrait la réduire assez facilement. Mais ça c’est une autre histoire, et d’autres enjeux.
(*) Bibliographie :
(1) Type 2 diabetes occurrence and mercury exposure – From the National Nutrition and Health Survey in Taiwan -Tsung-Lin Tsai,Chin-Chi Kuo,Wen-Harn Pan,Trong-Neng Wu,Pinpin Lin,Shu-Li Wang – Environment International – May 2019
Li Y-F, Dong Z, Chen C et al., (2012) – Organic selenium supplementation increases mercury excretion and decreases oxidative damage in long-term mercury-exposed residents from wanshan, China. Environ SciTechnol 46, 11313–11318.
Margaret E. Sears, Kathleen J. Kerr, and Riina I. Bray, “Arsenic, Cadmium, Lead, and Mercury in Sweat: A Systematic Review,” Journal of Environmental and Public Health 2012
(2) Arif Tasleem Jan et al., “Heavy Metals and Human Health: Mechanistic Insight into Toxicity and Counter Defense System of Antioxidants,” International Journal of Molecular Sciences 16, no. 12 (2015)
(3) Canadian Food Inspection Agency. (2017). Safeguarding with science: Glyphosate testing in 2015–2016.
(4) Cox, K. D., Covernton, G. A., Davies, H. L., Dower, J. F., Juanes, F., & Dudas, S. E. (2019). Human consumption of microplastics. Environmental Science & Technology, 53(12), 7068–7074
(6) Zhang, X., Wang, H., Peng, S., Kang, J., Xie, Z., Tang, R., Xing, Y., He, Y., Yuan, H., Xie, C., & Liu, Y. (2022). Effect of microplastics on nasal and intestinal microbiota of the high-exposure population. Frontiers in Public Health,
Jugdaohsingh R, Reffitt DM, Oldham C, Day JP, Fifield LK, Thompson RP, Powell JJ. Oligomeric but not monomeric silica prevents aluminum absorption in humans. Am J Clin Nutr. 2000 Apr;71(4):944-9. doi: 10.1093/ajcn/71.4.944. PMID: 10731501.
Nwokocha, C. R., Owu, D. U., Nwokocha, M. I., Ufearo, C. S., and Iwuala, M. O. E. Comparative study on the efficacy of Allium sativum (garlic) in reducing some heavy metal accumulation in liver of wistar rats. Food ChemToxicol. 2012;50(2):222–6
Aga, M., Iwaki, K., Ueda, Y., Preventive effect of Coriandrum sativum (Chineseparsley) on localized lead deposition in ICR mice. J Ethnopharmacol. 2001;77(2-3):203–8
Bonjour,
je suis à la recherche d’une étude scientifique sur les effets chélateurs de la chlorelle sur les métaux lourds et notamment le plomb. Pourriez vous me la communiquer si toutefois elle existe
D’avance merci de votre aide
Catherine Lacheré
il en existe plusieurs. Par exemple ici : https://www.google.com/search?q=ncbi+chlorella+chelation&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b-ab
Je partage totalement l’avis e Charlène 28, le problème c’est que les médecins anti-âge et autres, s’adressent plus à une catégorie plus aisée qui peut se permettre de payer des bilans à 1200 €, comme j’ai vue récemment sur la 2. Alors, on s’informe comme on peut pour soigner notre santé. Si la sécu pouvait faire baisser le prix de ces examens préventifs
elle ferait plus d économies, car cela peut supprimer certaines maladies graves qui coutent si chères .
Vous ne parlez pas des personnes toxiques que nous avons tous autour de nous et qui participent au stress et au mal-être qui nous font vieillir prématurément. Comme les toxines du corps, on devrait assainir notre entourage pour être mieux.
Une étude américaine dit que 84 des femmes supportent au moins 1 personne toxique dans leur entourage, qui appartient le plus souvent au milieu du travail. On apprend aussi que 80 des femmes admettent rester en contact avec des personnes toxiques pour elles
Apparemment on est deja bien atteints. Et si l’on se pose la question, on sait plus quoi manger. Le poisson contient du mercure, la viande des hormones, les légumes des engrais chimiques, les fruits des pesticides et je parle meme pas des aliments industriels, conserves et plats tout preparés… Pauvre de nous si on ne fait rien.